Durant les fêtes, les Petits Frères des Pauvres ont lancé un grand appel au renforcement de la solidarité afin de ne pas laisser les aînés seuls. Dans cette lutte contre l’isolement des personnes âgées à Noël, des partenaires des Petits Frères des Pauvres se sont engagés à nos côtés. C’est le cas de Cheerz qui offre 1 000 Petites Attentions à envoyer gratuitement aux aînés que nous accompagnons via son application ou son site Internet.
Envoyez une Petite Attention à un aîné isolé
Vous avez envie d’agir pour illuminer la journée d’une personne âgée isolée ? Les Petits Frères des Pauvres et Cheerz vous offrent la possibilité d’écrire un petit mot accompagné d’une photo gratuitement depuis la plateforme Cheerz. L’occasion de présenter vos vœux, de dire simplement que vous pensez à la personne, d’écrire une citation ou un poème. Cette carte sera ensuite transmise à une personne âgée accompagnée par l’une de nos équipes bénévoles en France.
Pour nos aînés, ce geste simple représente beaucoup. C’est un peu de joie pendant cette période de reconfinement et pour le début de l’année 2021, où la solitude est plus gravement ressentie par les personnes âgées les plus isolées.
La Petite Attention Cheerz : comment ça marche ?
1000 Petites Attentions sont mises à disposition gratuitement par Cheerz pour les citoyens souhaitant briser l’isolement des personnes âgées. Pour en bénéficier, voici la marche à suivre :
- Remplissez ce formulaire en cliquant ici ;
- Recevez par mail votre code personnel permettant de commander une Petite Attention Cheerz gratuitement sur le site ou l’application, ainsi que l’adresse postale (à noter : ce code ne vous sera pas communiqué instantanément après avoir complété le formulaire, cette étape peut prendre quelques jours) ;
- Personnalisez votre Petite Attention avec une photo et un petit mot sur Cheerz puis envoyez-la à l’adresse postale communiquée.
Petite Attention à un aîné
Je participe
L’opération étant limitée, seuls les 1000 premiers inscrits pourront envoyer des courriers jusqu’au 20/01/2021. Il n’y a plus qu’à !